"En efecto, lo que la experiencia mística revela es una ausencia de objeto. El objeto se identifica con la discontinuidad; por su parte, la experiencia mística, en la medida en que disponemos de fuerzas para operar una ruptura de nuestra discontinuidad, ..." "... la experiencia mística, (...) introduce en nosotros el sentimiento de continuidad. Lo introduce por unos medios distintos del erotismo de...
"El erotismo de los corazones es más libre. Si bien se distancia aparentemente de la materialidad del erotismo de los cuerpos, procede de él por el hecho de que a menudo es sólo uno de sus aspectos, estabilizado por la afección recíproca de los amantes. Puede estar enteramente desprendido de esa afección, pero entonces se trata de excepciones como las que tiene en...
"El ser, las más de las veces, parece dado al hombre fuera de los movimientos de la pasión. Diré, por el contrario, que jamás debemos representarnos al ser fuera de esos movimientos." Georges Bataille El Erotismo . ...
"Mon âme ne sait pas la peur. Elle ne vacille pas dans l’orage... Il n’y a point de place pour la Mort, Sa puissance ne peut anéantir un atome..." "Ces angoisses devaient commencer dès l’année suivante. Le frère bien-aimé, Branwell Brontë, après s’être fait chasser de vingt emplois pour son ivrognerie et sa négligence, avait enfin obtenu une place de précepteur dans une...
«Il aurait fallu un interprète entre Emily et le monde.» "Hubiera sido necesario un intérprete entre Emily y el mundo." Charlotte Brontë "On ne peut en tout cas douter que la personnalitè singulière de l'auteure de Wuthering Heights ait fait partie des conditions, toutes aussi singulières, qui ont fait naître une œuvre demeurée énigmatique." Robert de Traz résume l'influence du révérend sur ses...
Bataille
Bataille Emily Bronté Literatura moderna y la vía mística. La pasión.
viernes, enero 24, 2014 "En realidad, la literatura, unida desde el romanticismo a la decadencia de la religión (dado que, en forma menos importante, menos inevitable, tiende a reivindicar discretamente la herencia de la religión) está menos cerca del contenido de la religión que del contenido del misticismo, que es, en las márgenes de la religión, un aspecto suyo casi asocial. El misticismo está más cerca de...
" La liberté n’est rien si elle n’est celle de vivre au bord des limites où toute compréhension se décompose." Bataille . ...
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Yo-Conciencia
Hume: "que (el Yo) es producto del hábito, de la fe." Lévi-Strauss: "que lo que él vive tan completa e intensamente es un mito"
jueves, enero 23, 2014"Se hace necesario, en cambio, vivir el yo sin tomárselo demasiado en serio
o, entendiendo, con Hume, que es producto del hábito, de la fe, si bien de una
fe necesaria para actuar, o lo que es lo mismo, para no quedar bloqueado en
los nudos del autoanálisis:
“Pero que no se nos haga decir que el hombre puede o debe desprenderse
de esta interioridad. No está su poder en hacerlo, y la sabiduría consiste,
para él, en contemplarse viviéndola, sabiendo (...) que lo que él vive tan
completa e intensamente es un mito, que se les manifestará como tal a los
hombres de un siglo próximo, que le parecera eso a él mismo, quizá de aquí
a algunos años, y que, a los hombres de un próximo milenio, no les parecerá
de ninguna manera”. (C. Lévi-Strauss: El pensamiento salvaje. op.cit. p. 370.)"
Belén Castellanos Rodríguez La crítica de Deleuze al psicoanálisis:
el proyecto de un deseo políticamente constituyente.
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Aristóteles
En Aristóteles advertimos la idea de que no todo conocimiento o pensamiento es consciente, en cuanto que, ni tan siquiera toda percepción es consciente
miércoles, enero 22, 2014 "Parece que en Aristóteles podríamos reencontrar ciertas resonancias presocráticas, colocándonos de nuevo en la línea de un pensamiento sin sujeto, o que es anterior o exterior a éste. Además de heredar el concepto de Nous de Anaxágoras, explorado aquí anteriormente, Aristóteles habla más claramente de un nous poietikos eterno y presubjetivo que, en todo caso, estaría a la base del proceso de subjetivación...
"Convendría ahora seguir el rastro retroactivo del concepto implícito de Inconsciente en Platón. Para no perder el hilo de la historia estrictamente filosófica, decimos, solo de modo muy breve, que en los sofistas, tal vez debido a su excesivo psico-sociologismo, no encontramos ningún hilo, lo suficientemente oportuno, con el que enganchar la reflexión presocrática (o preplatónica) en torno a la cuestión o, si...
"Para la búsqueda del Inconsciente en el pensamiento parmenídeo, tomemos la orientación de Heidegger, excepcional transmisor del pensamiento griego, consiguiendo así continuar nuestro planteamiento con un hilo adecuado y rectamente dirigido. Por ello, debemos centrarnos en una problemática tan apasionante como compleja: la idea de que lo mismo es Ser y Pensar. Atendemos a esta cuestión por ser aquella en la que se...
Deleuze
Heráclito El logos es ese pensamiento sin sujeto. Inconsciente Ontológico
miércoles, enero 22, 2014 "En Heráclito se bosqueja, sin duda, la idea de un pensamiento sin sujeto, que el espíritu humano debe tratar de comprender. El logos es ese pensamiento sin sujeto, el orden común que rige todas las cosas. Ese logos no es un elemento de la consciencia, sino que, en todo caso, está a la base de ésta y se oculta tras ella como se...
Deconstructivismo
Deleuze "Deconstruir el sentido supone hallar el caos que lo trabaja desde el interior."
miércoles, enero 22, 2014"Deconstruir el sentido supone hallar el caos que lo trabaja desde el interior.
Hablar de caos o de sinsentido no es lo mismo que hablar de falta de
determinaciones sino de una velocidad infinita dentro de la cual las
configuraciones se hacen y se deshacen, se construyen y se desvanecen
como las creaciones y las destrucciones de la face del Niño Nietzscheana."
G. Deleuze Différence et répétition.
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"Wunderblock, machine d'écriture d'une merveilleuse complexité, dans laquelle on projettera le tout de l'appareil psychique. La solution de toutes les difficultés antérieures y sera représentée, et la Note, signe d'une admirable ténacité, répondra très précisément aux questions de l'Esquisse. Le Wunderblock, en chacune de ses pièces, réalisera l'appareil que Freud, dans l'Esquisse, jugeait « pour le moment inimaginable » (« Un appareil qui...
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"L'originalité de Husserl se reconnaît à ce que : a) il distingue le nombre d'un concept, c'est-à-dire d'un constructum, d'un artefactum psychologique; b) il souligne l'irréductibilité de la synthèse mathématique ou logique à l'ordre — aux deux sens de ce mot — de la temporalité psychologique; c) il appuie toute son analyse psychologique à la possibilité déjà donnée d'un etwas überhaupt objectif, que...
"Husserl tente donc sans cesse de concilier l'exigence structuraliste qui conduit à la description compréhensive d'une totalité, d'une forme ou d'une fonction organisée selon une légalité interne et dans laquelle les éléments n'ont de sens que dans la solidarité de leur corrélation ou de leur opposition, avec l'exigence génétiste, c'est-à-dire la requête d'origine et du fondement de la structure. On pourrait montrer pourtant...
"Selon l'indication présente dans la notion d'àpxń, le commencement philosophique est immédiatement transposé en commandement éthique ou politique. Le primat est d'entrée de jeu principe et chef. Toutes les pensées classiques interrogées par Levinas sont ainsi traînées vers l'agora, sommées de s'expliquer dans un langage éthico-politique qu'elles n'ont pas toujours voulu ou cru vouloir parler, sommées de se transposer en avouant leur dessein...
"S'il est vrai que « la philosophie occidentale a été le plus souvent une ontologie »
dominée depuis Socrate par une Raison qui ne reçoit que ce qu'elle se donne,
qui ne fait jamais que se rappeler elle même,
si l'ontologie est une tautologie et une égologie,
elle a donc toujours neutralisé l'autre à tous les sens de ce mot."
"L' « ontologie » heideggerienne, malgré de séduisantes apparences, n'échapperait
pas à ce schéma. Elle resterait encore « égologie » et même « égoïsme » :
« Sein und Zeit n'a peut-être soutenu qu'une seule thèse :
l'être est inséparable de la compréhension de l'être (qui se déroule comme temps),
l'être est déjà appel à la subjectivité. Le primat de l'ontologie heideggerienne ne
repose pas sur le truisme :
« Pour connaître l'étant, il faut avoir compris l'être de l'étant. »
Affirmer la priorité de l'être par rapport à l'étant, c'est déjà se prononcer sur
l'essence de la philosophie, subordonner la relation avec quelqu'un qui est un
étant (la relation éthique) à une relation avec l'être de l'étant qui, impersonnel,
permet la saisie, la domination de l'étant (à une relation de savoir), subordonne
la justice à la liberté... façon de demeurer le Même au sein de l'Autre. » "
JACQUES DERRIDA L'écriture et la différence
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"Plus gravement, se priver de l'autre (non par quelque sevrage, en s'en séparant, ce qui est justement se rapporter à lui, le respecter, mais en l'ignorant, c'est-à-dire en le connaissant, en l'identifiant, en l'assimilant), se priver de l'autre, c'est s'enfermer dans une solitude (mauvaise solitude de solidité et d'identité à soi) et réprimer la transcendance éthique. En effet, si la tradition parménidienne —...
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Derrida "Le fragment n'est pas un style ou un échec déterminés, c'est la forme de l'écrit."
domingo, enero 12, 2014"Le fragment n'est pas un style ou un échec déterminés, c'est la forme de l'écrit.
A moins que Dieu n'écrive lui-même; et encore faut-il qu'il soit alors le Dieu des
philosophes classiques, qui ne s'est pas interrogé et interrompu lui-même,
qui ne s'est pas coupé le souffle comme celui de Jabès. (Mais précisément le
Dieu des classiques, dont l'infinité actuelle était intolérante à la question,
n'avait pas le besoin vital de l'écriture.) Contrairement à l'Être et au Livre
leibniziens,
la rationalité du Logos dont notre écriture est responsable
obéit au principe de discontinuité.
Non seulement la césure finit et fixe le sens :
« L'aphorisme, dit Nietzsche, la sentence où je suis passé maître parmi
les Allemands, sont des formes de l'éternité. »
Mais d'abord la césure fait surgir le sens. Non pas à elle seule, bien sûr;
mais sans l'interruption — entre les lettres, les mots, les phrases, les livres —
aucune signification ne saurait s'éveiller.
A supposer que la Nature refuse le saut, on comprend pourquoi l'Écriture
ne sera jamais la Nature. Elle ne procède que par sauts. Ce qui la rend périlleuse.
La mort se promène entre les lettres. Écrire, ce qui s'appelle écrire, suppose
l'accès à l'esprit par le courage de perdre la vie, de mourir à la nature."
JACQUES DERRIDA L'écriture et la différence
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Derrida "Le poète protège le désert qui protège sa parole qui ne peut parler que dans le désert"
domingo, enero 12, 2014"Le poète — ou le Juif — protège le désert qui protège
sa parole qui ne peut parler que dans le désert;
qui protège son écriture qui ne peut sillonner que le désert. C'est-à-dire en inventant,
seule, un chemin introuvable et inassigné dont aucune résolution cartésienne
ne peut nous assurer la droite ligne et l'issue."
"Absence de l'écrivain aussi.
Écrire, c'est se retirer.
Non pas dans sa tente pour écrire, mais de son écriture même.
S'échouer loin de son langage, l'émanciper ou le désemparer,
le laisser cheminer seul et démuni. Laisser la parole.
Être poète, c'est savoir laisser la parole. La laisser parler toute seule,
ce qu'elle ne peut faire que dans l'écrit.
(Comme le dit le Phèdre, l'écrit, privé de « l'assistance de son père »
« s'en va tout seul », aveugle, « rouler de droite et de gauche »
« indifféremment auprès de ceux qui s'y connaissent et, pareillement,
auprès de ceux dont ce n'est point l'affaire » ;
errant, perdu parce qu'il est écrit non sur le sable, cette fois, mais,
ce qui revient au même, « sur l'eau », dit Platon qui ne croit pas,
non plus, aux « jardins d'écriture » et à ceux qui veulent ensemencer
en se servant d'un roseau).
Laisser l'écriture, c'est n'être là que pour lui laisser le passage,
pour être l'élément diaphane de sa procession : tout et rien.
Au regard de l'œuvre, l'écrivain est à la fois tout et rien."
JACQUES DERRIDA L'écriture et la différence
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Derrida Mais cette crise en laquelle la raison est plus folle que la folie
domingo, enero 12, 2014 "Définir la philosophie comme vouloir-dire-l'hyperbole, c'est avouer — et la philosophie est peut-être ce gigantesque aveu — que dans le dit historique en lequel la philosophie se rassérène et exclut la folie, elle se trahit elle-même (ou elle se trahit comme pensée), elle entre dans une crise et en un oubli de soi qui sont une période essentielle et nécessaire de son mouvement....
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Derrida
Derrida "Elle risque d'effacer l'excès par lequel toute philosophie (du sens) se rapporte en quelque région de son discours au sans-fond du non-sens."
domingo, enero 12, 2014"Tantôt Foucault refuse en bloc le langage de la raison, qui est celui de l'Ordre
(c'est-à-dire à la fois du système de l'objectivité ou de la rationalité universelle,
dont la psychiatrie veut être l'expression, et de l'ordre de la cité, le droit de cité
philosophique recouvrant le droit de cité tout court, et le philosophique
fonctionnant, dans l'unité d'une certaine structure, comme la métaphore ou la
métaphysique du politique)."
"Invulnérable à toute contradiction déterminée entre raison et déraison,
il est le point à partir duquel l'histoire des formes déterminées de cette
contradiction, de ce dialogue entamé ou rompu peut apparaître comme
tel et être dit. Il est le point de certitude inentamable où s'enracine la
possibilité du récit foucaldien, comme le récit, aussi bien, de la totalité,
ou plutôt de toutes les formes déterminées des échanges entre raison et folie.
Il est le point où s'enracine le projet de penser la totalité en lui échappant.
En lui échappant, c'est-à-dire en excédant la totalité, ce qui n'est possible
— dans l'étant — que vers l'infini ou le néant :
même si la totalité de ce que je pense est affectée de fausseté ou de folie,
même si la totalité du monde n'existe pas, même si le nonsens a envahi la
totalité du monde, y compris le contenu de ma pensée, je pense, je suis
pendant que je pense. Même si je n'accède pas ici en fait à la totalité, si je ne
la comprends ni ne l'embrasse en fait, je formule un tel projet et ce projet a un
sens tel qu'il ne se définit qu'au regard d'une pré-compréhension de la totalité
infinie et indéterminée. C'est pourquoi, en cet excès du possible, du droit et
du sens sur le réel, le fait et l'étant, ce projet est fou et reconnaît la folie comme
sa liberté et sa propre possibilité. C'est pourquoi il n'est pas humain au sens de
la factualité anthropologique mais bien métaphysique et démonique : il se
reconnaît d'abord dans sa guerre avec le démon, avec le Malin Génie du non-sens,
et se mesure à sa hauteur, lui résiste en réduisant en soi l'homme naturel.
En ce sens, rien n'est moins rassurant que le Cogito dans son moment inaugural
et propre. Ce projet d'excéder la totalité du monde, comme totalité de ce que je
puis penser en général, n'est pas plus rassurant que la dialectique de Socrate
quand elle déborde aussi la totalité de l'étantité en nous plantant dans la lumière
d'un soleil caché qui est έπέκεινα τής ουσίας. Et Glaucon ne s'y est pas trompé
quand il s'écriait alors :
« Dieu! quelle hyperbole démonique? "δαιμoνιας υπερβολής" »
qu'on traduit assez platement peut-être par « merveilleuse transcendance ».
Cette hyperbole démonique va plus loin que la passion de l'ΰβρις si du moins
on ne voit en celle-ci que la modification pathologique de l'étant appelé homme.
Une telle ύβρις se tient à l'intérieur du monde. Elle implique, à supposer qu'elle
soit dérèglement et démesure, le dérèglement et la démesure fondamentale
de l'hyperbole qui ouvre et fonde le monde comme tel en l'excédant. L'υβρις
n'est excessive et excédante que dans l'espace ouvert par l'hyperbole démonique."
"Elle risque d'effacer l'excès par lequel toute philosophie (du sens)
se rapporte en quelque région de son discours au sans-fond du non-sens."
JACQUES DERRIDA L'écriture et la différence
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"Il faudrait conclure mais le débat est interminable. Le différend, la différence entre Dionysos et Apollon, entre l'élan et la structure, ne s'efface pas dans l'histoire car elle n'est pas dans l'histoire: Elle est aussi, en un sens insolite, une structure originaire : l'ouverture de l'histoire, l'historicité elle-même. La différence n'appartient simplement ni à l'histoire ni à la structure. S'il faut dire, avec...
"Encore faudrait-il, pour respecter dans le langage cet étrange mouvement, pour ne pas le réduire à son tour, tenter de revenir sur cette métaphore de l'ombre et de la lumière (du se-montrer et du se-cacher), métaphore fondatrice de la philosophie occidentale comme métaphysique. Métaphore fondatrice non pas seulement en tant que métaphore photologique — et à cet égard toute l'histoire de notre philosophie...
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Mallarmé: « Je sème pour ainsi dire ici et là dix fois ce double volume entier»
sábado, enero 11, 2014 "Irréalisé : cela ne veut pas dire que Mallarmé n'ait pas réussi à réaliser un Livre qui fût un avec soi — Mallarmé simplement ne l'a pas voulu. Il a irréalisé l'unité du Livre en faisant trembler les catégories dans lesquelles on croyait la penser en toute sécurité : tout en parlant d'une « identité avec soi » du Livre, il souligne que...
"Cette puissance révélatrice du vrai langage littéraire comme poésie, c'est bien l'accès à la libre parole, celle que le mot « être » (et peut-être ce que nous visons sous la notion de « mot primitif » ou de « mot-principe » (Buber) ) délivre de ses fonctions signalisatrices. C'est quand l'écrit est défunt comme signe-signal qu'il naît comme langage; alors il dit...
"Il n'y a donc rien de paradoxal à ce que la conscience structuraliste soit conscience catastrophique, détruite à la fois et destructrice, déstructurante, comme l'est toute conscience ou au moins le moment décadent, période propre à tout mouvement de la conscience." JACQUES DERRIDA L'écriture et la différence . ...
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Es el horror del hijo ante la madre. Innumerables dioses han llegado a ser hombres
sábado, enero 11, 2014 "Sermo III Los muertos avanzaron como niebla a través de los pantanos y gritaron: Habíanos más sobre el supremo Dios. Abraxas es el Dios difícilmente reconocible. Su poder es el supremo, pues el Hombre no lo ve. Del Sol ve el summum bonum, del Diablo el infimum malum, de Abraxas, sin embargo, la VIDA indeterminada en todos los aspectos que es la madre...
Delirios
ABRAXAS "Éste es un Dios del que vosotros nada sabíais, pues los hombres lo olvidaron."
sábado, enero 11, 2014"Éste es un Dios del que vosotros nada sabíais, pues los hombres lo olvidaron.
Nosotros lo denominamos por su nombre: ABRAXAS.
Es todavía más indeterminado que Dios y Diablo.
Para diferenciar a Dios de él, llamamos a Dios HELIOS o Sol. Abraxas es acción,
frente a él no hay nada sino lo irreal, por ello su naturaleza activa se despliega libre.
Lo irreal no existe y no se opone. Abraxas está por encima del Sol y por encima del
Diablo.
Es lo improbable, probable; lo irreal, activo.
Si el Pleroma tuviera una esencia, Abraxas sería su manifestación.
Es ciertamente lo activo mismo, pero ninguna acción determinada,
sino acción en general. Es irreal activo, porque no tiene acción
determinada alguna. Es también Creatur, puesto que se diferencia del
Pleroma. El Sol tiene una acción determinada, al igual que el Diablo;
por ello nos parecen mucho más actuantes que el Abraxas indeterminable.
Es Fuerza, Duración, Transformación."
Jung VII SERMONES AD MORTUOS
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"ELSA: Porque te amaba, porque te amaba te imaginé muerta de todas las formas posibles. Desde que naciste te imaginé muerta. Uno tiende a pensar en la muerte de los seres amados. (...) Amarte fue angustioso, me hiciste absolutamente vulnerable, no te cuidé lo suficiente, lo sé, lo sé. Pero no hubo un segundo en que no estuviese angustiada...
Escribir
Angélica Liddell No son capaces de enfrentarse a lo bello sin aniquilarlo
viernes, enero 10, 2014 "ELSA: Chloé tenía siete años y era preciosa. No había nacido criatura más linda en decenios. No se tenía noticia de semejante hermosura. Las madres me pedían los bucles de su deliciosa cabellera. Todas querían tocar sus bucles. Todas. Hay bucles del pelo de mi hijita en todas las casas. La invitaban a todas las fiestas, ganaba todos los...
VII SERMONES AD MORTUOS "... el Pleroma no está realmente dividido en ningún aspecto, pues es la Nada." "Hablo de ello por empezar en algún sitio, y para desengañaros de que en algún sitio, fuera o dentro, exista algo determinado de antemano fijamente o de algún modo. Todo lo denominado fijo o determinado es sólo relativo. Sólo lo que está arrojado al cambio...
Aristóteles
Derrida La problemática del Tiempo como concepto en la filosofía occidental
jueves, enero 09, 2014 "3. De acuerdo con un gesto fundamentalmente griego, esta determinación hegeliana del tiempo permite pensar el presente, la forma misma del tiempo, como eternidad. Esta no es la abstracción negativa del tiempo, el no-tiempo, lo fuera-del-tiempo. Si la forma elemental del tiempo es el presente, la eternidad no podría estar fuera del tiempo sino permaneciendo fuera de la presencia; no sería presencia; vendría...